Julie de bonne espérance de Jean-Guy Soumy (Pocket – 347 pages )
En commençant ce roman, j’ai cru lire un livre du terroir limousin.
Quelle bonne surprise de découvrir un roman historique sur Limoges et ses alentours en 1848.
J’ignorais que cette belle ville fut nommée « Limoges, la ville rouge ».
J’ai découvert la vie des naveteaux et celle travaillant dans la porcelaine.
Comment ne pas être bouleversée par la misère des ouvriers, des paysans à cette époque.
Quand une population meurt de faim, de froid, de maladies et surtout perd tout espoir dans le futur, une révolution éclate.
Le gamin, Fendu ressemble à Gavroche.
Il y a du Zola dans cette histoire.
Maxime s’est enfui d’Algérie au bout de six ans, il lui restait encore un an à effectuer .
Il n’a pu supporter les horreurs qu’ils voyaient durant la conquête de ce pays.
Son régiment était dirigé par Bugeaud.
Il est désormais un déserteur et il est recherché.
Il veut retrouver Julie, sa femme en revenant chez ses parents dans leur ferme près de Limoges.
J’ai beaucoup aimé lire ce livre.
Mireine
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