Toute la lumière que nous ne pouvons voir d’Antony Doerr ( Albin Michel – 610 pages)
Je referme à regret ce pavé de 610 pages. Je vais avoir du mal à oublier Marie-Laure et Werner.
Marie-Laure est aveugle et vit avec son père qui est serrurier au Musée du Jardin des Plantes à Paris.
Pendant ce temps Werner, un petit orphelin allemand, petit génie en transmissions électromagnétiques est envoyé par la Wehrmacht dans une école.
Nous allons les suivre jusqu’à fin de la dernière guerre.
Marie-Laure et son père vont fuir se réfugier à St-Malo chez l’oncle Etienne en emportant un objet confié par le musée.
Werner est en URSS avec trois compagnons pour exterminer les émetteurs radio.
Le débarquement arrive. Saint Malo est sous les bombes de la fin de la guerre.
La petite aveugle se retrouve seule … Imaginez vous dans le noir et seule sous les bombes, traquée, sans nourriture…
Pour moi ce roman est un chef-d’oeuvre. L’auteur nous fait vivre une époque douloureuse avec de courts chapitres qui nous promènent de France en Allemagne.
Un conseil : lisez ce livre.
Bonne lecture.
Merci Marie pour me l’avoir prêté.
Mireine
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