Les voleurs d’innocence de Sarai Walker ( Totem – 624 Pages )

J’ai lu ce roman pour un challenge de lecture  commune sur Babelio. 

Comme je ne crois pas aux fantômes et, à mon âge, à plus grand chose, il m’a été difficile de rentrer dans ce roman.

Mais au bout d’une centaine de pages, j’ai voulu comprendre. 

Ensuite j’ai cherché d’autres significations, d’autres messages glissés par Sarai Walker.

J’en ai trouvé un flagrant et puis d’autres. 

Dans cet ouvrage, l’Homme est mauvais et tue.

Fusil, Chapel, Colt…

Les maris… Il y en a de violents. Ceux là je les hais.

Seules, les femmes arrivent à vivre sans eux. Je sais elles ne sont pas toujours parfaites !

Les fleurs et le sexe féminin.

L’homosexualité au féminin. 

Je ne vais pas dévoiler mon sentiment sur la fin du roman. 

J’aurais aimé avoir plusieurs sœurs toutes différentes mais surtout qu’elles soient toujours vivantes et toutes différentes avec des passions  » Lecture, peinture, écriture, cuisine, affaires, sciences, etc …°

Le père Chapel a un côté très sombre et sans affection pour ses filles. Il n’est là que pour le chéquier. 

La mère n’est que souffrance et à cette époque le mari pouvait facilement se débarrasser de sa femme en la déclarant folle.

Beaucoup de descriptions de vêtements surtout féminins durant cette histoire.

Les fleurs sont partout. 

Les livres sont juste des livres sans intérêts. Dommage ! La peinture est à l’honneur et j’ai aimé.

La folie est présente également par la souffrance, le refoulement des sentiments.

Finalement aucun regret de l’avoir lu et n’hésitez pas à me dire si vous avez découvert d’autres sens cachés dans ce roman facile à lire. 

Je m’arrête car je pourrais écrire sur ce roman encore une page ou deux. Mais ….

Mireine