
La Voix d’Arnaldur Indridason ( Points – 408 Pages )
Quand vous lisez un polar qui se passe dans les pays nordiques, il faut avoir le moral.
Les personnages sont tristes avec de gros problèmes dans leur vie. En plus le temps est gris et il fait froid.
Je préfère largement les polars au soleil.
Je me suis prise de compassion pour ce pauvre père Noël assassiné.
L’inspecteur Erlendur traumatisé par le drame de sa jeunesse, sa fille droguée sur les bras va poursuivre une enquête d’une longueur et d’une lenteur qui a joué sur mes nerfs.
Il est divorcé depuis de longues années et il vit une vie de merde (Veuillez m’excuser )
Il se lance à inviter une femme à boire un verre mais il ne sait vraiment pas ce qu’il veut. ( J’ai envie de lui mettre une claque et de le secouer ).
L’auteur nous ne donne pas du tout envie d’aller vivre en Islande. Sont-ils tous des taiseux cafardeux ?
Enfin l’écrivain m’a bien promenée parmi de nombreux suspects.
Tout se dénoue dans les dernières pages.
Le mobile est évidemment un qui mène le monde. Eh oui !
Je reconnais qu’Arnaldur Indridason est un bon mais alors pourquoi est-il si sombre ?
Mireine
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