
On m’appelle Demon Copperherad (Barbara Kingsolver ( l’De P. 856 Pages)
Livre reçu pour la fête des mères.
J’ai lu dans mon enfance des livres de Dickens qui m’avaient bouleversés.
Lorsqu’on a la chance d’avoir des parents, nous ne pouvons imaginer la vie d’un orphelin sans aucune famille proche. Ils sont à la merci des services sociaux, des familles d’accueil.
Demon se sent marqué au fer rouge. Surtout il y a un dicton » Les chiens ne font pas des chats » ou « Tel père, tel fils »
Vous démarrez dans la vie avec un handicap.
Demon n’a pas de père et sa mère l’élève seule comme elle le peut.
Elle croit bien faire de se marier et lui donner un beau-père. le conte de fée ne durera pas
La drogue va tout détruire.
L’auteur nous montre le danger des anti-douleurs dangereux comme l’oxycodone prescrits trop facilement par certains médecins aux USA
Notre Demon en sera une des victimes.
Ce roman nous narre la vie de ce gamin de sa naissance à l’âge de jeune homme.
Ces combats, ses amitiés bonnes ou mauvaises, les personnes qui vont lui tendre la main mais surtout son courage pour se sortir du milieu de la drogue et des mauvaises influences.
Il faut dire qu’il est né aux USA dans une région soi-disant de ploucs, de paumés.
Le football peut vous sortir de l’anonymat mais une heure de gloire peut être éphémère.
Quand on se sent pas à la hauteur, nous pouvons faire de mauvais choix.
Demon se donne toujours à fond dans ce qu’ il entreprend.
Suivez le et vous irez avec de hauts et des bas vers l’espoir de jours meilleurs.
Un magnifique roman qui peut vous pincer le coeur, vous émouvoir, vous mettre en colère mais vous allez vous attacher à ce Demon.
Mireine
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