Le bruit des pages » de Livia Meinzolt
2016, Paris
Eva hérite d’une librairie dans le quartier de la Butte aux Caille. Les exigences du vieux propriétaire avec lequel elle s’était liée d’amitié ? Que la librairie ne soit jamais vendue et qu’Eva y conserve un tableau représentant une jeune femme, penchée sur un carnet, aux pieds d’un acacia majestueux.
Bientôt, elle se prend à imaginer la vie de la femme du tableau, Apollinariya Ivanovna Lubiova, une jeune aristocrate russe, vibrante de rêves et d’idéaux au cœur de l’été 1916.
Mais tandis que les mois passent, fiction et réalité semblent se confondre… Et si la librairie renfermait des mystères insoupçonnés ? Le voyage d’Eva à Saint-Pétersbourg pourrait-il l’aider à comprendre le lien étrange qui l’unit à Apollinariya ?
Ce roman a un début très prometteur, puis long, très long, j’ai persévéré et bien m’en a pris, vers les pages 300 et quelques, l’intérêt est revenu jusqu’à cette fin sublimement romanesque. Si vous aimez ce genre d’histoire, ce livre devrait vous enchanter malgré tout. Le charme a finalement complètement agi sur moi.
En attendant les prochains avis.
Aline
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