Les Aiguilles d’Or de Michael McDowell ( Monsieur Toussaint Louverture – 520 Pages )
Roman bien différent de Blackwater, j’ai préféré me plonger dans le 19 ème siècle avec les odeurs des bas fonds à la Dickens .
La morale de ce roman à mon avis, est la suivante » La vengeance est un plat qui se mange froid ! «
Deux sociétés dans New-York des années 1880, l’une puissante est très riche qui vit dans sa bulle et l’autre miséreuse vivant de rapines et de crimes.
Parmi les riches, il faut paraître et il est important de tenir son rang.
La famille Stallworth comprend un juge connu et implacable, un pasteur dont les sermons sont moralisateurs, un fils Benjamin qui part jouer dans les tripots, une mère, Marian qui ne s’occupe guère de sa progéniture mais du qu’en dira -t-on ? son mari, Duncan, avocat qui entretient une maitresse dans ces fameux mauvais quartiers, Hélène qui fait la charité en cachette…
Dans le triangle Noir, se trouve Léna, la noire qui ne pardonne pas à ce juge qui a fait pendre son époux.
Elle est prêteuse sur gages mais c’est une façade. Son entreprise est puissante menée par de nombreuses femmes;
Ces deux familles que tout s’épare vont mieux se connaître pour le pire.
Lisez et voyez comment Léna va agir. Un bon thriller ! Il n’y aura pas de pitié ..
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