L’Allée du Roi de Françoise Chandernagor

L'allée du roi par Chandernagor
Un beau roman historique que j’ai dévoré il y a des années !
 
Un avis de Danielle
 
 
 
 
 
> Message du 12/05/20 11:46
> De : “Danielle 
> A : “mireine
> Objet : LATULU
>
>>  
>  
> Coucou les LATULU
>  
>  
> Pour la seconde fois je termine la lecture du livre de Françoise CHANDERNAGOR, 
>  
l’ ALLEE DU ROI   biographie romancée de Madame de MAINTENON
 
>
Je crois qu’il est inutile de présenter ce livre qui en 1981 a été un best seller, l’ouvrage est dense mais la lecture très agréable.


> Françoise CHANDERNAGOR a réalisé un magnifique travail d’historienne.
>  
> Expliquant peut-être pourquoi la révolution couvait.
>  
“Le peuple crevait de faim désespéré par des années de famines et de guerres inutiles.

Épuisé de misères et de pillages, le peuple vivait de racines et se livrait parfois à ces actes d’anthropophagie (page 91). Un habitant sur deux ne survivait plus que par l’aumône des pains d’avoine (page 22) et de seigle (page 23).”
 
Bonne journée ensoleillée
 
Danielle
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« L’Allée du Roi » de Françoise Chandernagor
Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, se reflètent et se révèlent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », difficilement contenus sous l’apparence immuable de la majesté royale.
« Je ne mets point de borne à mes désirs », disait celle qui fut presque reine de France… De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos et de ses amants au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie !
Pour ma part la langue du XVIIè siècle a été assez difficile à lire. Mais le livre est très instructif et mérite d’être terminé. Françoise Chandernagor a restitué le vrai visage d’une femme méconnue, témoin intelligent et sensible d’une époque toute en contrastes. Bornons-nous donc à nous laisser guider par les confidences de celle qu’on surnomma « la belle Indienne », tout au long de la fabuleuse ascension qui la mène de la Marie Galante à Versailles et de Versailles jusqu’à Dieu.
En attendant les prochains avis, bonne fin de semaine.
Bizzzzz.
Aline

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