En attendant BOJANGLES d’Olivier BOURDEAUT (un premier roman)
Un amour fou …une histoire déjantée…Je viens de le dévorer. 159 pages de plaisir, de rires aux larmes. Un petit garçon raconte à sa manière la vie de ses parents. Les fêtes s’enchaînent.Ses parents dansent sur la chanson de Mr.BOJANGLES….Un oiseau exotique “Mademoiselle Superfétatoire” vit en liberté avec eux. Leur ami, sénateur “l’Ordure” est souvent là. Une histoire loufoque au bord de la folie …. A lire absolument…ROMAN 2016 de FRANCE TELEVISION – Roman des étudiants 2016- France Culture- Télérama.
15/04/19 18:03 | |
objet | LATULU |
---|
Un nouvel avis sur En attendant BojanglesEn attendant Bojangles premier roman d Olivier Bourdeaut >Un couple qui danse,un enfant qui regarde ses parents admiratif .Dans un très grand appartement cette petite famille accompagnée d un oiseau exotique libre “mademoiselle Superfétatoire” s ‘amuse.Leur ami sénateur surnommer ” l ‘ordure” les y rejoint souvent. Fêtes interminables très arrosées , aucunes contraintes ,aucun interdit..Folie douce, joie, extravagance, rien ne doit poser de problème a ce couple .Mais folie douce…ou…folie ? >Ce premier livre est d une lecture agréable. >Je vais lire le suivant ” Pactum Salis.” qui a de bonnes critiques. Marie |
OUAH ! Je suis contente ! C’était François Busnel qui m’avait offert ce livre et je l’avais lu et trouvé ” Déjanté ” . Mais l’avis de Joèl est d’une bien meilleure analyse !Marie Reine > Message du 09/01/20 15:03 > De : joel > A : “Marie-Reine” > Objet : LATULU > >> Marie-Reine m’a offert en souriant un court roman “déjanté”, c’était son mot, écrit par un jeune auteur appelé Olivier Bourdeaut. Le titre: “En attendant Bojangles”. Plus qu’un texte “déjanté”, je trouve, il s’agit d’un texte sur le “décalage”. Le décalage, les “mensonges à l’envers” grâce auxquels on supporte la vie, ses contraintes et même ses lois, à condition de prendre ce décalage avec autant d’humour que l’auteur en prodigue presque à chaque page quand il ne nous fait pas comprendre à quel point il souffre de la démence de sa femme. Il joue à chaque instant avec la volonté de rire bien vite, avant de réaliser qu’il faudrait pleurer. Il y a beaucoup de tristesse dans ce livre apparemment drôle et la fin le prouve; mais l’auteur enveloppe avec talent cette tristesse dans un grand voile qui vole au vent de la danse qui rythme les pages. J’ai aimé ce livre très vrai malgré ses excès évidents, très joliment orchestrés dans une langue actuelle et sans ornements inutiles, elle. Merci Marie-Reine. Joël |