
J’ai préféré lire son livre avant de rechercher sur internet son nom . Je n’ai pas voulu me laisser influencer.
Un peu perdue durant les 20 premières pages et brusquement je l’ai accompagné dans ses souffrances d’étudiant trop distrait, trop pauvre, trop malheureux pour pouvoir s’instruire.
Des tourbillons de descriptions poétiques de cette campagne chinoise sous le joug du communisme et des coutumes.
La misère est présente avec ses poux, ses vêtements crasseux élimés, la folie, la violence, la mendicité, la honte jusqu’à la mort.
Ce roman, sombre drame plein de poésie, plein de vécu vous marquera.
En refermant ce petit livre j’ai vite regardé internet pour connaitre l’auteur.
Marie Reine